Allons-nous disparaître à cause de l’IA?

C’est évidemment la première question que se posent ceux qui expérimentent DALL-E ou Midjourney et Stable Diffusion.

Sans aucune connaissance de la peinture ou du dessin, ils obtiennent un résultat impressionnant. L’IA n’est pas magique et elle ne fait pas tout. Mais, elle est sans doute capable de se substituer à un certain type de production graphique et photographique. Ce type d’application suffira pour de nombreuses utilisations illustratives des textes.

Que dit ma machine à ma question : La génération d’images utilisant l’intelligence artificielle est la nouvelle ère de l’art ou la fin des artistes ?

Réponse Chat GPT :

 La génération d’images utilisant l’intelligence artificielle a le potentiel de changer la façon dont l’art est créé et consommé, mais ce n’est pas nécessairement la fin des artistes. Bien que les images générées par l’IA puissent être très réalistes et visuellement frappantes, elles ne remplacent pas la créativité, les compétences et l’expression personnelle que les artistes apportent à leur travail.

 

Les images générées par l’IA peuvent être un outil utile pour les artistes, en leur fournissant un nouvel ensemble de techniques et de possibilités de création artistique. Par exemple, un artiste pourrait utiliser un programme d’IA pour générer un point de départ pour une peinture, puis utiliser ses propres compétences et sa vision pour affiner et développer davantage l’image. De cette façon, l’IA pourrait être considérée comme un nouveau moyen d’expression artistique, plutôt que comme un remplacement pour les artistes humains.

Cependant, il est également important de reconnaître que l’utilisation de l’IA dans l’art pourrait avoir des implications pour le marché de l’art et la façon dont l’art est valorisé. À mesure que les images générées par l’IA deviennent plus répandues et sophistiquées, il peut devenir plus difficile de faire la distinction entre l’art généré par l’IA et l’art créé par des humains. Cela pourrait potentiellement conduire à des débats sur la valeur et l’authenticité de l’art généré par l’IA, et le rôle de l’IA dans le monde de l’art en général.

C’est bien résumé. Mais ajoutons un peu plus d’explications.
L’utilisation d’un modèle d’apparence simple ne veut pas dire qu’il est si facile d’obtenir ce que nous souhaitons comme image.

 

Statistiques, puissance CPU et big data sont les trois fées présentes au berceau de l’IA.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’IA nous fait passer d’un environnement avec des règles explicites de programmation traditionnelle à un monde probabiliste, parfois complexe à rendre intelligible pour l’utilisateur.

Par conséquent, cela signifie que nous avons du mal à maîtriser l’image finale. L’intention de calcul n’est qu’un calcul statistique. Chaque suggestion visuelle de la machine n’est qu’une des innombrables solutions possibles liées à notre requête.

Nous communiquons donc avec une véritable boîte noire et ce que nous allons obtenir en conséquence est difficile à anticiper.

 

Contrairement à la programmation « dans le dure » traditionnelle où la machine était dirigée de manière déterminée dans une direction spécifique grâce à un programme dit expert, les algorithmes d’IA empruntent un chemin qui n’est pas si démontrable.

Plus exactement, il est démontrable pour les programmeurs qui savent revenir en arrière pour découvrir par exemple les raisons des éventuels biais de données, mais cela n’est pas possible pour nos propres requêtes.

Une petite définition par mon IA : quelle est la différence entre programmation déterministe et la programmation de l’IA ?

La programmation déterministe est un style de programmation dans lequel le résultat d’un programme est déterminé de manière unique par ses entrées et par le code du programme. Dans ce type de programmation, le résultat d’un programme sera toujours le même pour les mêmes entrées, ce qui signifie qu’il n’y a pas d’incertitude ou d’aléatoire dans le résultat final.

La programmation de l’IA, en revanche, utilise des algorithmes et des techniques de traitement du langage naturel pour permettre à un programme d’apprendre et de s’adapter à de nouvelles situations. Contrairement à la programmation déterministe, la programmation de l’IA peut produire des résultats qui ne sont pas entièrement prévisibles, car elle peut s’adapter et apprendre à partir de nouvelles données.

En résumé, la programmation déterministe est une approche prédictive et rigide qui permet de produire des résultats précis et fiables, tandis que la programmation de l’IA est une approche plus flexible qui permet à un programme d’apprendre et de s’adapter à de nouvelles situations.

Pour être plus exacte, le modèle passe par les nouvelles séquences d’apprentissage qui crée ses versions successives et qui le font évoluer dans le temps.

L’IA et le cerveau humain, les comparaisons ne manquent pas

L’IA irrigue un imaginaire technophile et technophobe selon la propension personnelle au catastrophisme. Le mot intelligence, des expressions comme « réseaux neuronaux » ou l’apprentissage profond nous font croire que cette technologie imite le cerveau humain, siège de la pensée.

Les métaphores biologiques parlent aux gens, leur font peur, mais n’ont  pas réellement de fondement scientifique. Les histoires d’IA utilisent également des images de science-fiction enracinées dans nos souvenirs de jeunesse.

J’ai posé encore la question suivante à ‘IA :Quelle est la meilleure façon d’expliquer la différence avec le cerveau humain ?

L’intelligence artificielle (IA) et les algorithmes d’apprentissage automatique ne fonctionnent pas de la même manière que le cerveau humain, mais ils s’inspirent de la façon dont le cerveau traite l’information. Les systèmes d’IA utilisent des algorithmes et des données pour apprendre et prendre des décisions, tandis que le cerveau humain utilise des neurones et des synapses pour traiter et stocker des informations.

Il y a souvent une peur et une méfiance à l’égard de l’IA et de la technologie en général, et cela peut être alimenté par les représentations médiatiques qui présentent l’IA comme une menace pour l’humanité. Cependant, il est important de se rappeler que l’IA est un outil qui peut être utilisé à des fins très diverses, positives et négatives, et qu’il nous appartient, en tant qu’individus et en tant que société, de déterminer comment elle est utilisée.

Une façon de gérer la peur et de comprendre les différences entre l’IA et le cerveau humain est de s’éduquer sur le fonctionnement de l’IA, ses capacités et ses limites. En apprenant davantage sur l’IA, nous pouvons mieux comprendre son potentiel et ses limites, et nous pouvons prendre des décisions plus éclairées sur la façon de l’utiliser. Il est également important de tenir compte des implications éthiques de l’IA et de veiller à ce qu’elle soit utilisée de manière responsable et transparente.

 

J’ai posé ensuite à l’algorithme la question sur les façons de gérer l’appréhension et le rejet des algorithmes IA et voici la réponse sage de la machine :

Il est compréhensible que les gens puissent avoir des préoccupations ou des réserves quant à l’utilisation de l’intelligence artificielle dans l’art, en particulier compte tenu des risques et des conséquences négatives associés à la technologie. Cependant, il est important d’aborder ce sujet de manière constructive et ouverte d’esprit, plutôt que de le rejeter catégoriquement.

Une façon de mieux comprendre le rôle de l’intelligence artificielle dans l’art est de se familiariser avec les bases du fonctionnement des algorithmes d’IA et les types de tâches qu’ils sont capables d’effectuer. Cela peut aider à démystifier le sujet et à le rendre plus accessible. Il peut également être utile de lire sur le travail des artistes et des chercheurs qui utilisent l’IA dans leur art, et de voir des exemples d’art généré par l’IA par soi-même.

Quelques exemples d’artistes en art visuel et en peinture qui utilisent l’IA.

Et pour finir, il y a des artistes qui utilisent l’IA dans leur création. J’ai posé la question au Chat GPT sur le sujet pour voir qui va être cité.

  •  Trevor Paglen : Paglen est un artiste et chercheur qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des images abstraites d’un autre monde. Son travail explore l’intersection de l’art, de la science et de la technologie, et il a exposé son travail dans des galeries et des musées du monde entier.

  • Sougwen Chung : Chung est une artiste qui utilise l’intelligence artificielle et la robotique pour créer des installations interactives qui explorent la relation entre les humains et les machines. Elle a exposé son travail dans des galeries et des musées du monde entier, et elle a également collaboré avec des entreprises technologiques de premier plan telles que Google.

  • Zach Lieberman : Lieberman est un artiste et programmeur qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des installations interactives et des œuvres d’art numériques. Son travail a été exposé dans des galeries et des festivals à travers le monde, et il a également collaboré avec des entreprises technologiques de premier plan telles qu’Apple.

  • Memo Akten: Akten est un artiste et chercheur qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des installations interactives et des œuvres d’art numériques. Son travail explore l’intersection de l’art, de la science et de la technologie, et il a exposé son travail dans des galeries et des festivals du monde entier.

  • Mario Klingemann : Klingemann est un artiste et chercheur qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des images abstraites d’un autre monde. Son travail a été exposé dans des galeries et des festivals du monde entier, et il a également collaboré avec des entreprises technologiques de premier plan telles que Google.

  • Anna Ridler : Ridler est une artiste qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des œuvres d’art numériques qui explorent l’intersection de l’art, de la science et de la technologie. Son travail a été exposé dans des galeries et des festivals à travers le monde, et elle a également collaboré avec des entreprises technologiques de premier plan telles que Google.

  • Ingrid Burrington: Burrington est une artiste et chercheuse qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des installations interactives et des œuvres d’art numériques. Son travail explore l’intersection de l’art, de la science et de la technologie, et elle a exposé son travail dans des galeries et des festivals du monde entier.

  • Dan Chen : Chen est un artiste et chercheur qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des installations interactives et des œuvres d’art numériques. Son travail a été exposé dans des galeries et des festivals du monde entier, et il a également collaboré avec des entreprises technologiques de premier plan telles que Google.

  • James Bridle : Bridle est un artiste et chercheur qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des installations interactives et des œuvres d’art numériques. Son travail explore l’intersection de l’art, de la science et de la technologie, et il a exposé son travail dans des galeries et des festival

Des exemples supplémentaires d’artistes Français qui utilisent l’intelligence artificielle dans leur art visuel et leur peinture :

Qentin Deronzier : Deronzier est un artiste et chercheur qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des images abstraites d’un autre monde. Son travail a été exposé dans des galeries et des festivals du monde entier, et il a également collaboré avec des entreprises technologiques de premier plan telles que Google.

Murielle Scherre : Scherre est une artiste qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des installations interactives et des œuvres d’art numériques. Son travail explore l’intersection de l’art, de la science et de la technologie, et elle a exposé son travail dans des galeries et des festivals du monde entier.

Marie Segolene : Ségolène est une artiste et chercheuse qui utilise l’intelligence artificielle et les algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des installations interactives et des œuvres d’art numériques. Son travail a été exposé dans des galeries et des festivals à travers le monde, et elle a également collaboré avec des entreprises technologiques de premier plan telles que Google.

Pierre Fautrel : Fautrel est un artiste et chercheur qui utilise l’intelligence artificielle et des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer des installations interactives et des œuvres numériques. Son travail explore l’intersection de l’art, de la science et de la technologie, et il a exposé son travail dans des galeries et des festivals du monde entier.

Simon Bernard : Bernard est un artiste et chercheur qui utilise l’intelligence artificielle.

 

Le prochain article aborde de manière simplifiée la génération d’image.

Inscrivez-vous pour ne pas rater le prochain article !

Inscrivez-vous pour recevoir des informations dans votre boîte de réception.

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

="2"]

Ne manquez pas le prochain article!

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.